Les grandes entreprises sont de plus en plus conscientes du fait que la société de demain ,e tolérera plus que les modes de production et de consommation actuelle empêchent de préserver les ressources de la planète.
 
Les consommateurs eux-mêmes portent leurs choix sur des entreprises responsables, qui choisissent des solutions inscrites dans le long terme quelque soient leur impact négatif sur leur rentabilité à court terme.
 
La société civile va exiger que les entreprises rendent compte de ce qu’elles font mais aussi de comment elles le font.
 
Aussi les dirigeants sont contraints d’introduire de nouveaux indicateurs de performance, inscrits dans leur culture managériale. Ils ont pour objectif de minimiser les conséquences négatives de leurs activités mais aussi de renforcer leur image liée à la responsabilité sociétale. Ainsi voit-on apparaître dans les rapports annuels des preuves ce cette nouvelle responsabilité sous forme d’activités philanthropiques, de programmes de sponsoring d’activités artistiques et culturelles. Mais ces démarches sont souvent réduites à des investissements financiers, de nouvelles lignes budgétaires et ne correspondent pas à de véritables « engagements » des collaborateurs de l’entreprise vers une nouvelle responsabilité vis-à-vis de la planète et de la société.
 
La publication récente de la norme « ISO 26000 responsabilité sociétale » fournit un cadre, des références pour qu’au sein des entreprises et entre les entreprises, la convergence des actions vers un objectif commun clairement défini garantisse un véritable impact positif pour la planète.
 
Les principes généraux de responsabilité y sont définis sous 7 catégories de principes :
 
La redevabilité (responsabilité au sens de devoir rendre des comptes : « accountability »)
 
La transparence
 
Le comportement éthique
 
La reconnaissance des intérêts des parties prenantes
 
Le principe de respect de la loi
 
La prise en compte des normes internationales de comportement
 
Le respect des droits de l’homme
 
Il est évident que le respect de ces principes ne sera pas la responsabilité exclusive des dirigeants. C’est à tous les niveaux de l’entreprise, dans toutes les prises de décision, petites ou grandes, dans toutes les relations internes et externes que ces principes devront être appliqués.
 
La responsabilité sociétale, encore plus que le développement durable (dans sa dimension technique), est donc l’affaire de tous.
 
Le « team building » et « group building » sont deux disciplines managériales qui vont permettre de sensibiliser les collaborateurs, les équipes, les business units, et de les mobiliser pour changer les comportements et donner un nouveau sens à leur engagement professionnel.
 
Par exemple : comment faire passer ce nouveau concept de la « redevabilité » dans l’ensemble de l’entreprise ? Comment démontrer l’intérêt d’assumer ses décisions et leur impact et d’en rendre compte ? Les discours abstraits, les notes de service, ne suffiront pas.
 
Dans cet esprit, Eagle’s Flight a développé des activités de Team Building expérientiel donnant aux équipes la possibilité de mesurer ensemble les bénéfices de la « redevabilité ».
 
Par exemple « People, planet, profit » est une activité de team building qui met clairement en évidence les composantes de la responsabilité sociétale. Les participants perçoivent (avec émotion parfois) l’impact de leurs décisions et de leurs comportements sur les parties prenantes. La notion même de « partie prenante » est une découverte pour certains.
 
Ces expériences de Team Building sur le thème de la responsabilité sociétale marquent les esprits et influencent positivement les équipes. Le simple fait d’avoir vécu une expérience commune et d’être d’accord sur la nécessité de changer pour assumer la pérennité de leur organisation, déclenche des transformations rapides et inespérées.
 
En effet, tout changement majeur commence par une prise de conscience. Les activités d’Eagles Flight ne dispensent pas de l’information ou de la connaissance, elles créent les prises de conscience nécessaires à la réussite collective.